N’hésitez surtout pas à prendre quelques minutes pour écouter ces deux Messieurs vous raconter l’histoire de notre orthographe.
Ceux qui pensent être dysorthographiques seront probablement rassurés : « C’est la faute de l’Orthographe ! »
Pour les professionnels, les instituteurs et tous ceux qui pratiquent, enseignent ou apprennent la langue de Molière, nous leur souhaitons bien du courage pour apprivoiser cette langue si belle et si … complexe.
Bref, un vrai moment de plaisir à partager !

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CogCharonne fête son premier anniversaire !

Il y a un an les portes du centre s’ouvraient, pour accueillir les premiers patients. Pour l’occasion, CogCharonne change de couleur et choisit le jaune !

En un an,

  • nous avons effectué plus de 5 600 consultations
  • nous assurons, en plus du diagnostic, le suivi et rééducation des enfants présentant des troubles des apprentissages, des troubles autistiques, des troubles attentionnels avec ou sans hyperactivité et aussi des adultes atteints de maladies neuro-évolutives telles que la maladie de Parkinson ou la maladie d’Alzheimer
  • nous avons la fierté d’accompagner plus de 1 300 familles avec une file active de patients âgés de 12 mois à 90 ans
  • nous avons créé de l’emploi afin de constituer une équipe, tout fraichement agrandie, nous permettant de proposer une offre de soins globale et coordonnée : pédopsychiatrie, médecine générale, ergothérapie, orthophonie, orthoptie, neuropsychologie, psychomotricité, éducation thérapeutique
  • nous assurons des missions de formation en accueillant des stagiaires, futurs praticiens ou gérants de structure de soins

CogCharonne apparaît en Jaune, couleur chaude de la médaille que l’ensemble de l’équipe mérite pour le travail accompli. Clap Clap Clap !

 

Si CogCharonne revêt un costume Jaune, c’est aussi en signe de protestation.

Car depuis l’idée du projet CogCharonne, c’est une bataille Kafkaïenne que nous menons auprès de l’administration afin que le droit d’exercice des médecins soit respecté. En pleine pénurie médicale, le bon sens voudrait que des projets comme celui-ci soient portés, aidés, soutenus… La réalité du terrain est tristement différente. Ce n’est pas faute d’avoir revendiqué auprès des députés, sénateurs, ministère, et plus récemment auprès du gouvernement que le Droit d’exercice des médecins n’était pas respecté par l’Assistance Publique, que l’Hôpital bafouait le code du travail, le code de la santé, la déontologie et les droits et libertés des médecins, tout ceci à l’encontre des patients. Ce n’est pas faute de les avoir informés d’une erreur dans le système, du non-sens, entre autres, de rémunérer des médecins pour les remercier de ne pas voir plus de patients. Ce n’est pas faute d’avoir dit que les lois existaient et qu’il suffirait qu’elles soient respectées pour que les listes d’attente auprès de ces mêmes hôpitaux, réduisent. En pleine pénurie médicale, non cela n’a pas de sens, et pourtant…

Depuis un an, ce n’est pas 1 mais 7 médecins qui n’ont pas eu l’autorisation de venir exercer au sein du centre. Sept médecins, à notre seule échelle, c’est 9 100 familles que nous aurions pu accueillir et qui sont toujours sur liste d’attente ici ou là, sans diagnostic, sans prise en charge. Alors, à l’échelle nationale, quand on sait que seulement 11% des praticiens hospitaliers exercent leur droit de cumul, combien de patients pourraient être pris en charge si les lois étaient respectées ? Une solution bien plus rapide à la suppression du numerus clausus …

Alors, oui, CogCharonne démarre sa deuxième année vêtu de jaune et continue de se battre pour ses patients, pour ses praticiens, pour tenter d’améliorer le système de soins, et continue de vous accueillir, patients et praticiens, avec hâte et plaisir !

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Soigner et Transmettre !

CogCharonne développe ses activités de formation et a le plaisir d’accueillir 3 jeunes étudiantes :
– Coralie, Master 2 de Psychologie Cognitive et Neuropsychologie, Université de Nanterre
– Emmy, Licence Pro de Management d’établissement de Santé, IUT de Paris, Université Paris Descartes
– Capucine, Licence de Psychologie, Université Paris Descartes
Bienvenue à toutes !

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Stimulation Cognitive – Booster son Cerveau

Difficultés à se concentrer, oublis passagers, lassitude, sentiment de ne plus pouvoir réaliser certaines choses (comme le calcul, ou la rédaction d’un courrier), troubles de l’humeur… sont autant de symptômes du déclin cognitif lié à l’âge.

Bien que le déclin cognitif soit inéluctable, il est possible de le freiner.

En effet, c’est la répétition qui consolide les circuits cérébraux et finit par les rendre permanents. Deux heures d’exercices répétitifs suffiraient pour “fabriquer” de nouvelles synapses (Francis Brunelle dans Un cerveau très prometteur). Le défi : les entretenir sur la durée !

Nouveauté : CogCharonne propose des séances de Stimulations Cognitives pour les plus de 60 ans

Comment cela se passe :

  • Une première visite avec une neuropsychologue est proposée afin de faire un « état des compétences ». Cette première visite, d’une durée d’environ une heure, permet de déterminer le type de stimulation à réaliser par la suite.
  • Les séances de stimulations cognitives sont proposées au sein du centre. Accompagné par une neuropsychologue pendant environ 30 minutes, il s’agit de réaliser des séries d’exercices qui ont pour objectif de « booster » le cerveau.
  • Ces séances de stimulation s’adressent à toutes les personnes de plus de 60 ans qui souhaitent entretenir leurs performances cognitives
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Recommandations Médicales – Maladie d’Alzheimer

La HAS publie un guide concernant le parcours de soins des patients présentant une maladie d’Alzheimer ou une maladie apparentée : repérage des premiers signes, annonce du diagnostic, prévention du handicap, accompagnement des aidants, prise en charge des troubles du comportement.

1) Les premiers signes d’un trouble neurocognitif sont repérés en médecine générale : plainte mnésique, trouble de l’attention, trouble du langage, difficulté d’orientation, trouble praxique…

2) Le patient est orienté pour un avis spécialisé afin d’évaluer les troubles neurocognitifs. Un bilan neuropsychologique et d’autres examens complémentaires sont prescrits.

Si le patient est consentent, alors l’orientation vers un médecin spécialiste est préconisée : en cas de troubles de l’humeur, un avis psychiatrique est conseillé, en cas de troubles neurocognitifs, l’avis d’un neurologue (ou médecin spécialisé) est requis.

Une prise en charge précoce est préconisée, même avant que le diagnostic soit posée.

3) Ensuite, il s’agit d’établir un diagnostic et de déterminer la prise en charge adaptée.

Identifier la maladie à l’origine d’un trouble neurocognitif permet de confirmer ou d’infirmer le diagnostic, de déterminer le mécanisme physiopathologique et proposer un programme de soins pluridisciplinaires avec le médecin généraliste qui aura la charge de sa mise en œuvre et de sa coordination.

4) Préserver l’autonomie et le bien-être des patients.

La prise en charge est multidimensionnelle : cognitive, psychique, fonctionnelle, sociale et centrée sur le patient et son environnement. Elle associe des thérapies de réadaptation (fonctionnelle, orthophonique, motrice) et des thérapies psycho-comportementales basées sur le bilan neuropsychologique. Cette prise en charge est effectuée par différents praticiens : ergothérapeutes, orthophonistes, psychologues, kinésithérapeutes…

Le médecin généraliste doit informer les patients des bénéfices cliniques de ces prises en charge.

Il convient également de porter une attention particulière aux troubles chroniques du comportement (angoisses, apathie, dépression, hallucinations…).

Plus d’informations [ici]

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C’est vendredi et nous l’avons bien mérité ! Les enfants jouent dans le jardin, les praticiens leur courent après, ils ne se connaissaient pas avant d’arriver mais ils se sont reconnus.
Alors, l’hyperactivité c’est quoi et comment leur expliquer ?

 

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L’Ergothérapie : pour quoi ? pour qui ?

L’ergothérapie, profession du domaine de la santé, s’intéresse au fonctionnement de la personne, enfant et adulte, lorsque celle-ci éprouve des difficultés à participer à ses activités de la vie quotidienne et sociale.

L’ergothérapeute accompagne les personnes afin d’améliorer, de développer et/ou de maintenir l’indépendance et l’autonomie dans la vie de tous les jours.

         L’Ergothérapie s’adapte à tous, de 0 à 99 ans !

Comment se déroulent les séances ?

L’ergothérapeute réalise une évaluation initiale afin d’identifier et de comprendre les capacités et les difficultés de la personne. C’est cette évaluation qui va lui permettre de déterminer les axes de la prise en charge.

L’évaluation se fait par le biais de « l’observation clinique », lors de mises en situation et lors de bilans standardisés (petits tests à réaliser).

Les objectifs de la prise en charge sont définis de manière ciblée et individualisée. C’est-à-dire qu’ils s’établissent avec la personne elle-même et/ou les parents quand il s’agit d’enfants.

La collaboration entre le praticien et le patient est primordiale.

Le moyen thérapeutique utilisé pour l’acquisition de nouvelles habiletés est centré sur l’activité et en particulier le jeu, chez l’enfant.

L’objectif  final est la « généralisation des acquis » dans l’environnement de la personne.

Quelles sont les principales capacités sur lesquelles travaille un ergothérapeute ?

L’Alimentation

L’Aménagement de l’environnement (au domicile, sur le lieu de travail, à l’école…)

Les Apprentissages

L’Attention et la Concentration

L’Autonomie : habillage, hygiène, utilisation de la toilette, routines…

Les Déplacements

Le Sport

La Manipulation d’outils (crayon, ciseaux, ustensiles…)

La Reconnaissance et la Gestion des Émotions

Le Sommeil

Les réactions aux stimuli sensoriels (lumière intense, parfums…)

La Socialisation

Le Comportement

Plus d’infos ici : http://www.anfe.fr/definition

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 La pédopsychiatrie est en danger

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« Il est grand temps de redresser la situation au risque de voir disparaître, purement et simplement cette discipline.
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L’éthique du savoir, l’éthique du soin et l’éthique du sujet doivent être conjointement préservées, si nous voulons continuer à vivre dans une société solidaire qui protège ses membres plus vulnérables et les plus précieux, ses enfants. »
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http://www.liberation.fr/debats/2018/03/29/la-pedopsychiatrie-ne-veut-pas-mourir_1639853?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook
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